top of page

De la destruction à un amour fort et sincère. Un récit fait de détails et d'émotions, des mots s

"F.I.N.S"

d'A.P Lham

Merci à l'auteur pour ce Partenariat.♥

 

Pour se procurer l'ouvrage, veuillez copier et coller l'un de ses liens :

Amazon en version e-book et papier :

https://www.amazon.fr/F-I-N-S-P-LHAM-ebook/dp/B01958ABOM

CreateSpace : https://www.createspace.com/5925782

 

Mon résumé :

Nathan et Franck passent le cap des sept ans et ce passage semble fatidique. L'homme qui paraissait parfait pour Nathan montre quelques failles et une lassitude qui annonce tout : la rupture.

Le couple est déchiré avant les fêtes de fin d'année. On retrouve les maux de Nathan, détruit qui essaie de reprendre rapidement le cours de sa vie.

Attablé chez ses parents le 25 décembre avec sa famille, un autre membre s'est glissé autour de la table qui risque de bouleverser le cours de sa vie. Si tout semblait être compliqué, Nathan reprend du poil de la bête...


Le Père Noël serait-il venu lui faire cadeau de cette présence ?

 

Mon avis :


Le livre commence par une partie remerciements que j'ai trouvé très touchante. Souvent cette partie me parait obscure remplie de noms qui ne m'évoquent rien. Là elle dépasse cette dimension et parle aux lecteurs renvoyant déjà beaucoup d'émotion : le ton est donné.


L'écriture d'A.P Lham est vraiment très prenante et cela dès le début. Je l'ai lu en seulement deux lectures, sachant que la première coupure n'était pas volontaire. (L'homme a un besoin de sommeil agaçant ) Le prologue est sadique, il nous donne un début sans qu'on puisse le comprendre et on veut connaître cette histoire. Le réveil du 26 décembre n'est pas banal et commun aux autres : une démarche d'homme fatigué, un mal de crâne d'une soirée agitée. Mais qu'est ce qui a bien pu se passer ?


On ne le sait pas tout de suite puisque l'auteur remonte le temps et on découvre Franck. Journaliste, il écrit un article sur le cap des 7 ans souvent fatal au couple. Après le fameux "L'amour dure trois ans" de Frédéric Beigbeder, il semblerait que ce soit en fait sept ans. Franck annonce la nouvelle, il veut quitter Nathan. Les mots de l'auteur s'enveloppent d'une percussion très forte. L'attachement à ce personnage nous fait détester l'autre homme qui fuit : Franck. Au réveillon de Noël, Nathan se retrouve seul un soir aussi symbolique que celui-ci.


Et c'est là où le talent de l'auteur se montre sous son grand jour. Que faire faire à son personnage détruit, déprimé ?


Un passage à MacDo.


La grande chaîne américaine de fast-food va sans le vouloir porter une grande symbolique. Ce qui aurait pu donner une scène pathétique devient par l'attention des détails et la sincérité du dialogue de la serveuse, un moment unique et riche. L'émotion colle nos yeux aux lignes de ce livre. C'est en effet, un jouet, dont le hasard a voulu donner une description qui colle parfaitement à Nathan.


Tout est décrit, et bon sang que c'est bon ! On voit tout, on comprend tout, ce livre est un film sur papier. Les descriptions ainsi très détaillées donnent une dimension plus profonde et une vision beaucoup plus claire aux lecteurs. Les descriptions, point fort, s'ajoutent à un autre : les dialogues. Même si on pourrait critiquer la franchise et la dureté des mots de Nathan, ils restent puissants. Le soin des mots se sent et chaque phrase prononcée prend donc une importance. C'est une reconstruction d'un amour déçu et bafoué que le livre raconte ici mais aussi la difficile remontée de l'homme détruit.


La vision donnée de l'amour correspond à celle que j'ai, c'est l'équilibre de la douleur et du plaisir qui fait que l'amour est. Nathan est un personnage fort car il est sincère. Le vrai plus de ce livre est la force des sentiments. C'est une ode à l'amour.


Et les scènes de sexe, de sensualité, de découverte des plaisirs des corps en union sont présentes, nombreuses et toujours fortes. Les mots de l'auteur empêchent la vulgarité et ne visent que le bonheur sincère et intense. Un plaisir à lire, à voir se créer dans notre esprit.


Noël est symbole de magie et il y en a avec un personnage surprenant : Henriette. Cette grand-mère apparaît dans leur vie tel un ange apportant à ce livre une dimension inattendue, rajoutant de la vivacité aux émotions transmises par l'auteur.



La fin prend un rythme assez soutenu, cette rencontre que je ne vous dévoile pas, prend une place importante rapidement. Le dénouement de l'histoire ne surprendra pas tous les lecteurs s'ils sont attentifs aux détails, c'est en fait l'épilogue qui donne la volonté de lire encore et encore les mots de l'auteur. J'ai faillit débarquer d'ailleurs chez lui en voyant la rage que ça m'a provoqué en lisant la dernière ligne !


Coup de cœur pour cette histoire sentimentale, pour les mots de l'auteur. Je me suis reconnu dans cette éclatement du cœur, dans cette impression d'arrêt du temps, de cassure de notre monde et pourtant... Tout continue, tout peut se reconstruire ailleurs.


Les scènes de ce livre sont magiques, les paroles, les descriptions, Nathan... Tous ses éléments m'ont énormément plu. Merci énormément à l'auteur de m'avoir confié son ouvrage en partenariat. Très peu de points critiques pour ce livre qui mérite encore plein de lecteurs. Encore merci A.P Lham, dont je partage la courte biographie qui m'a beaucoup plu.

 

Biographie :

Images de Wix


Le nom de l’auteur, A.P. LHAM, est l’alliance de sa vie fictive et de sa vie réelle. A. pour Antonin, son véritable prénom, P. pour Patrick, son deuxième prénom, et hommage à cet oncle décédé trop tôt, et LHAM pour L’Homme Aux Mots, le pseudo de ses débuts sur la toile. Alors que ce dernier était un homme encore timide, comme l’est Antonin dans la vraie vie, A.P. LHAM s’est imposé comme un homme extraverti et ambitieux. Relativement prolixe et joyeux, il se révèle rapidement être le double parfait pour permettre à Antonin de s’épanouir. A.P. LHAM ose tout et surtout parler de lui. Voilà d’ailleurs ce qui l’a poussé écrire. « Qui es-tu ? », « Que penses-tu ? », « Quels sont tes rêves ? », tant de questions posées à Antonin et restées trop longtemps sans réponses. La plume de LHAM était l’occasion d’éclaircir ces zones d’ombres en n’assumant qu’à moitié, car Antonin l’affirmait : « LHAM est un autre, une partie de moi. Ce n’est pas totalement moi ». En théorie oui mais en pratique…

 


bottom of page